Tu n'sais même pas ce que tu fais
Qui juge la lave, le volcan ?
Tu attires au point qu'on veut s'approcher
Et puis une nuit l'enfer descend.
Je t'ai vu comme une forteresse
Immense, qui protège
La plus solide des promesses
Le soleil fait fondre la neige
S'il y a une faute, elle est mienne
Que fond les dieux à leurs sirènes ?
Si la main qui caresse peut faire ça,
J'aurai peur chaque fois. . .
Rien de plus à dire, le mal est là,
Quoi d'autre après ça ?
Laisse-moi, laisse-moi
Tu parles de simple coup de colère
Tu cherches à faire quitte comme deux frères
Je n'suis ni de ça, un ami
C'est une intolérable blessure
J'aurais donné toutes mes vies
Pour un Lancelot sans armure
Si la main qui caresse peut faire ça,
J'aurai peur chaque fois. . .
Rien de plus à dire, le mal est là,
Quoi d'autre après ça ?
Laisse-moi, laisse-moi
Quand on voit tout comme une enfant
Les princes sont là pour être amants
J'ai croisé quelques prétendants
Mais où sont passés les charmants
Si la main qui caresse peut faire ça,
J'aurai peur chaque fois. . .
Laisse-moi, laisse-moi
Rien de plus à dire, le mal est là,
Qui d'autre après toi ?
Laisse-moi, laisse-moi
Mais un jour je me guérirai de toi
Rien d'autre ne compte pour moi
Laisse-moi
Laisse-moi, laisse-moi
Je t'en prie, laisse-moi. . .